09h00. Départ du parking au Pont du Countet. Ca ne sert à rien de partir plus tôt à ce moment de l'année, du moins pour faire des photos car le soleil viens tout juste de passer par dessus les sommets à l'Est.
Je rencontre le premier chamois à la hauteur de la balise 411.

10h00. Le premier être humain rencontré, un pêcheur au pied d'une cascade sur la Gordolasque. La piste suit le torrent en montant vers les sommets.

A peu près à 1500 mètres d'altitude, la neige commence à faire son apparition. Après une montée très soutenue le long de très belles cascades, la Gordolasque se calme un peu à la hauteur des premières neiges.

11h00. Un peu plus haut (encore...) je rencontre deux autres chamois, ils se débrouillent mieux que moi qui m'enfonce dans la neige jusqu'aux c...
Ils y a deux autres humains dans la montagne, ils descendent du refuge de Nice. Il faut vraiment que j'achète des raquettes...

12h00. Les jolis paysages enneigés du Mercantour, rapide pause casse-croute sur un rocher. On approche du refuge de Nice et du lac du barrage de la Fous. Les traces sur la photo de droite sont les miennes...

13h30. Et voici le refuge (en bas à droite). Mais pas de lac, il faudra attendre la fonte des neiges. Moi qui suis monté jusque là pour faire une belle photo des «sommets se reflétant comme dans un miroir dans l'eau du lac». Tant pis, faudra revenir...

14h00. C'est l'heure de redescendre, sous le regard compatissant d'un chamois en haut d'une crête. Retour par le même chemin dans la neige, jusqu'aux cascades où je bifurque sur l'autre rive de la Gordolasque, en passant par «le mur des Italiens».

15h00. En descendant par la passe du «Mur des Italiens», j'ai aperçu ces deux chamois à flanc de falaise le long des cascades, on se demande vraiment comment ils font pour aller dans des endroits pareils.

J'ai réussi tant bien que mal à m'approcher du plus jeune, l'autre est monté plus haut sur le promontoire rocheux.

Sur le chemin du retour, rencontre avec un chamois vraiment pas farouche, il s'est laissé tirer le portrait à 3 mètres avant de s'en aller tranquillement brouter plus loin.